
La splendeur culturelle du Maroc captivée et racontée par le Financial Times
L’envoûtement du Maroc se dévoile dans toute sa splendeur, avec ses paysages et sa diversité culturelle captivante. Tout cela se mêle harmonieusement, créant une toile toute en beauté. Maria Shollenbarger, rédactrice en chef du Financial Times, nous transporte au cœur de cette expérience marocaine, dans un article paru dans le FT. Elle y raconte son voyage, accompagnée de sa mère octogénaire venue de Californie, assoiffée de découvrir les traditions architecturales, culinaires et l’hospitalité ancestrales de ce Royaume d’Afrique.
« Le Maroc est l’un des pays que je connais et aime le mieux. Il y a quelque chose dans ses cultures, à la fois arabes et berbères, qui est profondément captivant : à la fois insaisissable et plein de cœur. J’ai dormi dans des villages oubliés et des tentes dans des déserts de pierre, et j’ai regardé le soleil levant enflammer les sommets enneigés du Haut Atlas. D’El Jadida à Guelmim, j’ai essayé (et échoué) plus de fois que je ne peux les compter à combler le fossé de camaraderie avec mon français moyen et mes cinq mots d’arabe environ », c’est ainsi que commence à décrire la Red Chef du FT son amour pour le Maroc et sa découverte de son charme et de sa diversité dans toute sa splendeur.
Et c’est grâce à une vidéo mémorisant ‘l’adhan« , l’appel à la prière au Maroc, filmée il y a 13 ans par Maria Shollenbarger lorsqu’elle était à Marrakech et envoyée à sa mère en Californie, que les deux femmes ont fait le vœu de visiter le Royaume, « juste toutes les deux« , a confié la journaliste.
Dans un article captivant, écrit avec amour et affection, intitulé « Le Maroc à travers les yeux de Maria Shollenbarger, rédactrice en chef de HTSI Voyages, en compagnie de sa mère octogénaire« , la journaliste nous emmène à travers son regard, dans ce voyage à la découverte du Maroc qu’elle a enfin entrepris avec sa mère de 80 ans.
Au détour des ruelles de la médina de Marrakech, Shollenbarger et sa mère goûtent à chaque instant, s’imprégnant de l’atmosphère enivrante de la « Ville Rouge », une cité qui peut fasciner à tout âge, dit-elle. Son article capture avec brio l’instant présent, utilisant les mots pour dépeindre la profondeur des émotions suscitées par la magie du Maroc.
Après avoir bien visité la ville ocre, la journaliste part avec sa mère pour explorer l’arrière-pays, où le paysage change complètement, traversant les souks anciens, nichés entre des murs millénaires, jusqu’aux majestueuses montagnes de l’Atlas.
« Quelques heures plus tard, lorsque nous descendons dans la plaine désertique, ma mère est subjuguée par les changements de décors : la terre orangée se fondant avec le sable, des pentes abruptes laissant place à de modestes plateaux, certains recouverts d’une fine couverture de verdure. Au-delà, le désert de pierre s’étend à l’infini« , s’exclame-t-elle avec émotion.
Le récit de la journaliste plonge ainsi profondément le lecteur dans les caractéristiques uniques, passées et présentes, du Maroc. Elle décrit avec justesse les sensations ressenties, tant par sa mère que par elle-même, tout au long de leur voyage. Avec une plume élégante, elle met en lumière le génie des ancêtres marocains dans la gestion des ressources précieuses, comme l’eau, ou encore comment préparer un bon thé à la menthe façon « Sahraoui« , en décrivant minutieusement le processus de préparation.
À travers son récit, Maria Shollenbarger nous fait ainsi vivre l’hospitalité marocaine dans toute sa splendeur.
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